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Investir en obligations: comment ça marche?

Une obligation, qu’est-ce que c’est?

C’est un titre de créance correspondant à une partie d’un emprunt souscrit par une société privée. En d’autres termes, en achetant une obligation, vous devenez créancier en prêtant de l’argent à une société privée. Celle-ci devra vous rembourser, à l’échéance du prêt, la valeur de l’obligation (appelée aussi valeur faciale). Chaque année, vous percevrez un intérêt fixe (appelé aussi coupon). 
L’obligation peut se présenter aussi sous la forme d’un Bon d’Etat, une créance émise par l’Etat belge.
Sachez enfin qu’un pourcentage sera déduit de l’intérêt obligataire considéré comme un revenu mobilier : c’est le précompte mobilier qui s’élève à 15% sur les intérêts dépassant 1 660 €.

Quel est l’avantage de l’obligation?

C’est un placement relativement sûr et à revenu fixe.

Comment obtenir des obligations?

Vous pouvez vous adresser à une société de bourse ou à votre banque habituelle. Dans ce cas, demandez à votre établissement bancaire de vous informer des emprunts en cours. Votre banquier pourra alors vous proposer d’acheter des obligations lors de leur émission (issue du marché primaire),ou bien des obligations plus anciennes sur le marché secondaire. En choisissant cette deuxième option, vous pourrez revendre vos titres avant l’échéance prévue pour le remboursement. Quelque soit le type d’obligation, le contrat de souscription (appelé aussi contrat d’émission) devra indiquer le prix d’émission, le type de devise, la date de jouissance (départ du calcul des intérêts), la date de règlement, la durée de l’emprunt, le coupon et les modalités de remboursement.

Comment gérer l’achat ou la vente d’obligation?

Pour acheter ou vendre des obligations, vous devrez impérativement faire appel à un intermédiaire (société en bourse ou banque): lui seul sera habilité à passer des ordres en bourse en votre nom. En cas de vente de vos obligations, vous pourrez fixer un prix de vente minimum.

Et si je veux garder mes obligations?

Votre établissement financier vous proposera alors de les placer sur un compte-titre. Vous percevrez vos coupons après soustraction du précompte. Par contre, certains établissements peuvent facturer des frais de garde. Vous pourrez aussi demander que vos obligations vous soient livrées sous forme imprimée. Vous détiendrez alors vos titres avec tous les risques que cela comporte (perte, vol, etc.). Et, souvent, des frais de livraison vous seront facturés (20 € environ).

Est-ce que je dois payer des frais?

Ils sont déjà inclus dans le prix d’émission pour les obligations acquises sur le marché primaire. En revanche, pour des obligations déjà cotées sur le marché secondaire, des frais fixes de transaction vous seront facturés par votre établissement financier. Ces frais varient d’un établissement à l’autre; en règle générale, ils s’élèvent aux alentours de 50 €.

Combien coûte un compte à vue?

Le système bancaire actuel offre à ses clients divers types de comptes, adaptés aux diverses actions qu’ils sont amenés à réaliser. Chaque compte dispose de son utilité car chaque compte possède ses propres règles de fonctionnement, faisant transiter des fonds différents. Chaque type de compte possède bien évidemment ses frais de fonctionnement qui lui sont personnels. Parmi l’ensemble des comptes, on recense le compte à vue, qui est sans doute un des comptes les plus répandus. Tout ouverture de compte débute en effet par l’ouverture d’un compte à vue. Il convient donc de s’intéresser au coût de celui-ci, qui est le compte commun.

Le compte à vue, qu’est-ce que c’est?

Le compte à vue est le compte le plus simple qui puisse vous être proposé par votre banquier. Il est en effet proposé au plus grand nombre de clients car il permet une grande fluidité des fonds qui y transitent. Il est une sorte de compte courant, que l’on utilise tant pour les débits que pour les crédits. 

Le compte à vue vous permet en effet de gérer vos affaires courantes, avec les crédits courants : dépôts de chèques, d’espèces, réceptions de virements, réceptions de payes. Ce compte est aussi particulièrement utilisé pour les débits réguliers, tels que les retraits d’espèces, les paiements par carte bancaire ou encore les prélèvements. À la différence d’un compte épargne qui ne peut recevoir ce genre d’opérations. 

Le compte à vue ne peut en revanche recevoir aucune obligation ou aucun titre, pour lequel un compte titre est nécessaire. Ce compte s’avère cependant pratique au quotidien, ce qui peut expliquer son coût, relativement fluctuant d’un établissement bancaire à l’autre. 

Les coûts variables

Il n’est pas possible de définir le coût mensuel d’un compte à vue du fait de la fixation arbitraire de ce coût. En effet, il appartient à votre banque et à vos négociations de faire diminuer le coût de votre compte à vue. 

Il faut savoir qu’un compte peut fluctuer entre 3 et 9 euros, ce qui représente une petite somme à la fin de l’année. Comme tout compte, votre banquier vous proposera une multitude d’options que vous devrez analyser avant de refuser. En effet, il est vrai que plus vous assurez votre compte à vue, plus il vous coûtera cher, mais il est aussi vrai qu’en cas de problèmes financiers, notamment en cas de fraudes, vous pourrez espérer voir votre capital de départ restitué grâce à vos assurances. 

Le compte à vue ne vous coûtera donc pas énormément cher mensuellement. N’hésitez pas à y incorporer l’ensemble des garanties nécessaires à sont fonctionnement régulier.

Crédit auto: faut-il acheter une voiture neuve ou d’occasion ?

Vous devez changer votre voiture et vous avez calculé le budget que vous pourrez consacrer à cet achat compte tenu du montant du crédit auto que vos revenus vous permettront de rembourser. Maintenant, vous vous demandez s’il est préférable d’utiliser ce budget en achetant une voiture neuve ou une voiture d’occasion.

Il faut d’abord tenir compte de vos besoins et de l’usage que vous prévoyez de faire de votre voiture. Si votre famille est peu nombreuse et si vous prévoyez d’utiliser votre auto pour effectuer de courts trajets en ville ou pour aller votre travail, vous pouvez vous contenter d’acheter une petite voiture citadine qui aura souvent l’avantage d’être facile à manier et à garer. Dans ce cas, n’hésitez pas à acheter une voiture neuve si votre budget vous le permet.

acheter-une-voitureEn revanche, si vous avez plusieurs enfants et si votre voiture doit servir à faire de longs trajets en famille pour aller en vacances, il faut acheter une voiture plus puissante. Si vos moyens ne vous permettent pas d’acheter une voiture neuve ayant la capacité et la puissance dont vous avez besoin, vous pouvez acheter une voiture d’occasion. Mais, dans ce cas, il faut faire preuve d’une grande vigilance pour éviter les mauvaises surprises. 

En premier lieu, il faut acheter une voiture d’occasion chez un concessionnaire ayant une très bonne réputation et offrant des gages sérieux d’honnêteté. Vous devez en premier lieu vérifier si le vendeur remet à tous ses clients une facture, un formulaire de demande d’immatriculation de la voiture attestant que celle-ci a bénéficié d’un contrôle technique complet, le compte rendu dudit contrôle technique, le carnet d’entretien, le certificat de conformité ainsi que le car-pass qui est obligatoire et qui certifie le kilométrage de la voiture.

D’autre part, étant donné que, lors du contrôle technique obligatoire, certains problèmes ne sont pas forcément détectés, il faut exiger des renseignements sur les antécédents du véhicule. Il faut notamment vérifier s’il a été ou non impliqué dans un accident. Si c’est le cas, il faut exiger des documents attestant qu’il a été entièrement remis en état. Si vous n’êtes pas un professionnel de l’automobile, il est conseillé de vous faire accompagner par une personne qualifiée qui vérifiera si les résultats du contrôle technique vous offrent une garantie suffisante ou s’il faut faire faire des vérifications complémentaires sur la voiture. 

Enfin, il faut bien évaluer la garantie offerte par le vendeur. Cette garantie doit être au moins égale à un an. De plus, pour assurer votre sécurité et celle de votre famille, il est vivement conseillé de faire remplacer les pneus, les amortisseurs et les plaquettes de freins (sauf si le vendeur a déjà effectué lui-même ces remplacements).

La prime de fidélité

Dans le cadre de l’épargne belge, il existe ce que l’on appelle une prime de fidélité. Elle est acquise au bout d’une année, et est fixe; elle ne varie pas à la hausse ou à la baisse comme le fait le taux de base. La prime de fidélité vient en réalité s’ajouter au taux de base, et récompense la fidélité d’un épargnant qui demeure au fil des années auprès de la même institution financière.

La prime de fidélité se réitère chaque année, et elle peut être allouée selon deux modalités : soit sur les montants qui sont restés inscrits sur un même compte pendant 12 mois consécutifs, soit par année civile, sachant qu’une somme est considérée comme étant restée inscrite pendant une année civile si elle reste inscrite sur un compte pendant 11 mois consécutifs. Les banques qui adoptent cette seconde modalité sont plus souples, puisqu’elles permettent à leurs clients de changer de banque à chaque début d’année, après avoir reçu leurs intérêts.

epargnerLa prime de fidélité est aujourd’hui fortement critiquée en Belgique. En effet, début 2012, 69% des belges étaient pour la suppression de cette prime, qui serait néfaste pour la transparence des activités des banques et du sort des sommes épargnées. Beaucoup considèrent que la seule présence du taux de base serait une meilleure chose pour comparer les taux offerts par les différentes banques. Le système de la prime de fidélité est relativement complexe, puisque 1,5% de taux de base et 1,5% de taux de fidélité n’offrent en réalité pas un taux global de 3%. En témoigne cette statistique: entre ces deux taux de 1,5% et un taux de base de 2,85%, plus de 75% (!) des Belges opteraient pour le taux de base à 2,85%.

La prime de fidélité est vue d’un mauvais œil, son système complexe la rend difficilement compréhensible, et de nombreuses personnes la voient comme un détournement du taux de base, c’est à dire qu’en apparence le taux serait le même, mais le mécanisme étant différent, en réalité la prime de fidélité rapporte moins que le taux de base pour le même taux. De nombreuses personnalités politiques belges se sont mobilisées pour demander de cette prime, qui ne protègerait pas suffisamment les intérêts des clients. Il est par exemple très difficile de savoir dans de nombreuses banques à quel moment l’on peut retirer son argent sans perdre sa prime de fidélité.

Comment bien comparer pour réussir le choix de votre assurance auto

Vous êtes sur le point d’acheter une nouvelle voiture que vous allez devoir assurer. En conséquence, vous vous demandez comment limiter le plus possible cette dépense indispensable. Les astuces et les suggestions figurant ci-dessous vous guideront dans votre choix.

L’évaluation de vos besoins

Pour bénéficier de garanties suffisantes en évitant de payer pour des prestations qui seraient superflues pour vous, il faut tenir compte de l’utilisation que vous prévoyez de faire de votre voiture. Si vous ne prévoyez pas un usage différent de celui de votre véhicule précédent, commencez par noter le kilométrage que vous avez l’habitude de parcourir chaque année avec votre ancienne voiture. En effet, si vous ne vous servez de votre auto pour ne faire que des petits trajets en ville et si vous évitez de faire de longs voyages, certains assureurs tiendront compte du fait que vous ne roulez pas beaucoup. D’autre part, si elle n’est utilisée que par vous-même ou par votre conjoint et si vous êtes tous les deux de bons conducteurs n’ayant jamais causé d’accident, n’oubliez pas de le préciser aux assureurs. En outre, avant de choisir des garanties proposées en options telles que le prêt d’une voiture en cas de panne, demandez-vous si vous risquez réellement d’en avoir besoin.

Les astuces qui peuvent permettre de bénéficier d’une réduction de prime

Si vous tenez à assurer votre voiture contre le vol, il est judicieux de vérifier si le fait d’installer une alarme antivol peut vous faire profiter d’une baisse de la cotisation à payer à l’assureur. D’autre part, vous avez intérêt à vérifier si l’installation d’un ralentisseur sur votre véhicule peut vous permettre de baisser la facture.

L’étude des offres des assureurs

La première démarche doit consister à éliminer tous les assureurs dont les offres sont inadaptées à vos besoins. Ainsi, ceux qui refusent d’accorder des bonus aux bons conducteurs ou ceux qui refusent de tenir compte du fait que vous parcourez qu’un kilométrage faible ne présentent aucun intérêt si vous roulez peu et prudemment. Ensuite, il faut sélectionner les assureurs qui répondent le mieux à vos exigences tout en tenant compte des efforts que vous faites pour réduire les risques. Après avoir fait ce travail, il faut comparer les primes demandées par les assureurs présélectionnés et choisir celui qui répond le mieux à vos attentes moyennant des conditions aussi avantageuses que possible.

Les comparaisons à faire régulièrement

Sachez que les assureurs modifient leurs offres chaque année. En conséquence, lorsque l’échéance annuelle de votre contrat approche, il est toujours utile de vérifier si un assureur que vous aviez éliminé lors de votre choix initial n’a pas entre-temps mis une offre plus avantageuse sur le marché. Il se peut en effet que ceci vous permette de faire quelques économies.

L’épargne en vue de la retraite en Belgique

Vous constatez qu’en Belgique la pension légale à laquelle tout le monde a droit et que vous percevrez lors de votre retraite sera sans doute nettement insuffisante pour vous permettre de conserver votre niveau de vie. En conséquence, vous considérez avec raison que vous devez épargner ou investir pour bénéficier d’un bon niveau de vie plus tard, surtout si vous êtes travailleur indépendant.

Fort heureusement, en commençant à épargner suffisamment tôt et en plaçant judicieusement votre épargne, vous pourrez jouir d’une retraite confortable.

Sachez en premier lieu qu’il faut examiner de près les possibilités de placements immobiliers qui sont offertes en Belgique. Pour optimiser ce type de placement, il faut tenir compte de la qualité de chaque bien offert à la vente, de l’agrément du quartier où il se trouve et des travaux que les autorités ont décidé de faire dans ce quartier. En effet, si ces travaux favorisent une valorisation des logements situés dans le quartier concerné, vous pourrez bénéficier d’une plus-value intéressante lors de la revente de votre bien. Ce sera notamment le cas si le quartier bénéficie d’une création d’espaces verts, de la construction d’une nouvelle école ou de la mise en service d’une nouvelle ligne de transports en commun. Il convient donc de rechercher quelles sont les réalisations que les municipalités ou les autorités des provinces ont décidées.
Cependant, pour réussir votre investissement immobilier, vous devez choisir votre locataire avec soin. Il faut notamment vérifier si ses revenus sont au moins égaux à trois fois le montant du loyer et s’il n’a posé aucun problème à son précédent propriétaire.

D’autre part, le législateur a prévu des formules d’épargne qui vous permettront de vous constituer un capital en bénéficiant de réductions d’impôts. En premier lieu, la formule épargne pension vous permet d’investir un maximum de 940 € par année et vous donne droit à un avantage fiscal compris entre 30 et 40 % de vos versements. D’autre part, l’épargne à long terme vous permet de placer un maximum de 2260 € en 2013 en bénéficiant là aussi d’un avantage fiscal pouvant représenter quelques centaines d’euros chaque année. Bien entendu, il est tout à fait possible de cumuler ces deux formules. 

Enfin, si vous avez le temps et la compétence nécessaire, vous pouvez bien entendu gérer vous-même vos placements en Bourse. Mais pour réussir ce type d’opérations, il faut posséder une solide culture financière pour pouvoir bien évaluer les perspectives de valorisation des actions cotées. De nombreuses personnes ont perdu beaucoup d’argent en essayant de faire des placements en Bourse sans s’y être suffisamment préparées. En conséquence, si vous êtes tenté de gérer vous-même des placements boursiers, commencez par suivre l’une des formations proposées par les organismes spécialisés.

Une vie sans dettes, c’est possible?

Le système bancaire offre aujourd’hui à ses clients de nombreux produits financiers pour leur permettre de donner vie à l’ensemble de leurs projets. Ces produits ne sont cependant pas obligatoires, mais permettent aux clients dans le besoin de financement, d’obtenir rapidement de l’argent, pour poursuivre leurs projets. Il s’avère donc que l’on ne recourt pas toujours aux prêts, constituant des dettes, et qu’il peut s’avérer, dans certains cas que l’on ne recourt jamais aux crédits. 

Des divers prêts:

Le système bancaire actuel offre à ses clients divers types de crédits. Chaque crédit dispose de son propre champ d’action, de son propre champ de financement. On doit ainsi relever les crédits à la consommation, le crédit-bail et enfin les crédits immobiliers.

dettesChacun de ces crédits est attaché à un poste de consommation particulier, excepté le crédit à la consommation qui peut être général, en ne s’attachant à aucun poste de consommation particulier, notamment pour les prêts à tempérament. 

Ces offres supplétives de prêts sont proposées à l’ensemble des clients susceptibles des banques, qui ont le choix d’y recourir ou de ne jamais y recourir.

Pourquoi recourir à un prêt?

Pour la plupart des clients du système bancaire, le crédit est un recours indispensable pour donner vie à la majeure partie de leurs projets. C’est donc un besoin de financement, signe d’un manque de liquidité, qui pousse à l’obtention d’un prêt. Il est aisé d’imaginer que, plus l’investissement à réaliser est important, plus la nécessité de s’endetter est présente. 

Rares seront en effet les individus qui disposeront de la somme requise pour changer de véhicule, en payant le tarif au comptant, ou encore d’acquérir une propriété sans avoir à contracter un prêt immobilier. 

Une vie sans dettes, oui!

Qui n’a jamais rêvé de ne jamais rien devoir à personne ? Qui n’a jamais rêvé pouvoir financer ses projets sans jamais avoir à emprunter le moindre centime. Et bien sachez qu’il est possible de vivre sans jamais s’endetter, sans jamais contracter le moindre prêt, ou emprunter de l’argent à un ami, et il y a plusieurs raisons à cela. 

Pour ne pas recourir à un prêt, il suffit de disposer des liquidités nécessaires. Cela peut être le cas lorsque l’individu est rentier, ou a su, au fil des années, accumuler suffisamment d’argent pour lui permettre de donner naissance à l’ensemble de ses projets. 

Il est vrai que vivre sans dettes paraît relativement difficile, mais cela peut s’avérer tout à fait possible. Les plus petites bourses peuvent elles aussi vivre sans s’endetter, mais il faudra souvent plus de temps pour tendre à la réalisation des projets envisagés.

Acheter une maison: trouver un prêt hypothécaire

Acheter une maison est un rêve auquel aspirent beaucoup de personnes. L’achat d’une maison représente, pour son acquéreur, un excellent investissement à long terme, le prix de l’immobilier ne cessant d’augmenter. Cependant, avant de trouver et d’acquérir une maison, il faut passer par plusieurs étapes souvent jalonnées de difficultés. En effet, devenir propriétaire peut s’avérer compliqué lorsqu’on ne dispose pas suffisamment de l’apport financier nécessaire à l’acquisition d’un bien immobilier quel qu’il soit. De nombreuses personnes sollicitent les banques pour l’obtention d’un crédit immobilier, notamment d’un prêt hypothécaire, qui est soumis à de nombreuses conditions.

Le prêt hypothécaire

Accéder à la propriété est une perspective alléchante, même si cela comporte certains inconvénients en ce qui concerne l’achat de la maison et toutes les démarches qui l’accompagnent. Le prêt hypothécaire est un moyen d’acquérir une maison et pour l’obtenir, on peut le demander auprès de sa banque ou à tout autre organisme financier susceptible de l’accorder. Parfois, il est possible de solliciter un courtier en immobilier qui peut se charger de vous trouver un prêt hypothécaire. Un prêt hypothécaire servira à effectuer l’achat de la maison en complément de l’apport initial, la mise de fonds, versé par le futur propriétaire.
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Les conditions

En négociant les conditions d’un remboursement hypothécaire, vous vous engagez à rembourser régulièrement le montant emprunté avec les intérêts qui vous ont été calculés. Si le prêt n’est pas remboursé, la banque est en droit de saisir le bien immobilier hypothéqué. Pour bénéficier d’un prêt hypothécaire, la banque, qui vous prête le montant pour l’achat d’une maison, va évaluer vos revenus financiers ainsi que vos avoirs mais aussi vérifier si vous n’avez pas de créances impayées. Si les conditions de votre admissibilité sont réunies, alors vous pourrez négocier les clauses concernant votre prêt hypothécaire, à savoir, la durée de capacité du remboursement ainsi que l’établissement d’un calendrier des paiements.

Ce qu’il faut savoir

Acheter une maison grâce à un prêt hypothécaire ne vous dispense pas d’engager d’autres frais relatifs à cet achat. Sachez qu’il y a des frais concernant les évaluations obligatoires de la maison mais aussi les frais d’assurance sur le prêt hypothécaire , les frais notariaux pour l’enregistrement de la maison, des frais d’entretien, les taxes foncières pour ne citer que ceux là. Le contrat doit être bien lu pour éviter les mauvaises surprises. Toutes les conditions négociées doivent figurer sur le contrat hypothécaire. Si des éléments du contrat vous paraissent un peu flous, il ne faut pas hésiter à demander des éclaircissements à votre banquier. N’hésitez pas aussi à demander plusieurs simulations de prêt hypothécaire pour obtenir des conditions adaptées à vos besoins. Pensez également aux diverses dépenses supplémentaires imprévues, telles que l’augmentation éventuelle du taux d’intérêt.